… ou comment savoir le plus tôt possible ce que préparent vos concurrents simplement à partir des demandes d’enregistrements de marques, pour organiser le développement de votre activité en ayant une bonne maîtrise de votre paysage concurrentiel et de ses évolutions.

Pourquoi ?

Parce que connaître les futures opérations concurrentielles avant que les produits ne soient dans les linéaires et que les campagnes commerciales ne soient lancées va vous permettre de poursuivre vos implantations tout en ayant une bonne maîtrise des futures opérations développées par vos challengeurs.

En clair, la veille vous permet de gagner du temps et d’anticiper sur la découverte, d’analyser et comprendre les avancées concurrentielles en vous donnant accès à des informations nécessaires à votre stratégie et aux décisions concernant l’avenir de votre entreprise.

Pour qui ?

Pour tous les décideurs, qu’ils soient issus de la Recherche et du Développement, des Directions Générales, Marketing ou Juridiques. Pour vous qui êtes soucieux de vous informer, en toute légalité, sur les activités et les projets nationaux et internationaux de vos concurrents.

Pourquoi choisir Demoniak ?

Parce que la veille marketing ne s’improvise pas et que Demoniak a acquis depuis plus de 30 ans une solide expérience dans la création et l’analyse des identités de marques.

Mais surtout parce qu’en amont des méthodes traditionnelles de veille, pratiquées depuis toujours par les décideurs, Demoniak a développé, depuis 1997, une méthodologie qui permet de détecter le plus tôt possible les différentes initiatives stratégiques de votre univers concurrentiel.

C’est-à-dire ?

Notre méthodologie résulte de la réflexion suivante : s’il est possible de créer un nom de marque à partir d’un cahier des charges, il est inversement possible de dépister la stratégie marketing qui se cache derrière un nom de marque. En effet, le développement de nouveaux produits et de concepts ou les extensions internationales s’accompagnent généralement de dépôts de marques. Ceux-ci reflètent donc les stratégies de vos concurrents. Comme les demandes d’enregistrement de marques devancent le lancement des produits sur le marché, ces stratégies sont décelables avec une longueur d’avance par rapport aux habituels « store check » (veille de terrain).

Notre méthode ?

Demoniak collecte des données qui permettent l’analyse des politiques de marques et de modèles. Les informations issues des dépôts de marques sont traitées par des spécialistes sur les plans juridique, stratégique et sémio-marketing.
Demoniak met ensuite en place des Observatoires Concurrentiels personnalisés qui constituent des outils d’alerte et d’information opérationnels pour :

• connaître les profils stratégiques de vos concurrents,
• être informé au plus tôt sur leurs futurs développements,
• dépister les nouveaux intervenants sur une segmentation donnée,
• maîtriser l’évolution des tendances d’un secteur d’activité précis,
• dresser le panorama instantané d’un marché (opérations de co-branding, promotion, etc.),
• localiser les marchés test de vos concurrents (lancement de nouveaux produits),
• détecter les sociétés écrans qui recèlent les nouveautés les plus stratégiques …

Demoniak vous renseigne sur chacun de ces facteurs le plus tôt possible, car lorsque ces éléments sont accessibles, sur le marché, dans la presse, sur Internet… c’est déjà trop tard …

Comment ça se passe ?

La méthodologie est organisée en trois étapes :
audit – charte de veille – mise en place de la surveillance.

Audit de portefeuille :

Dans un premier temps, un audit est réalisé. Il permet de dresser les profils type de chacun de vos concurrents, de vérifier les tendances abordées dans un secteur donné, de lister les pistes stratégiques qui ont été étudiées, même si elles ne font pas encore l’objet d’une exploitation effective sur le marché.
Les informations collectées sont analysées, puis compilées dans une base de données exclusive qui constitue la trame de l’Observatoire Concurrentiel. Les premiers éléments collectés servent de base de référence, d’historique, à partir duquel l’analyse des futures initiatives sera confrontée.
Cet audit permet également de choisir avec vous et en fonction du contexte de la recherche, la formule de veille la plus judicieuse à mettre en place et au meilleur coût.

La charte de veille :

L’audit a permis de cerner le profil de vos concurrents, leur politique de développement, les diverses tendances exploitées, les tendances à venir, la typologie du secteur d’activité. À partir de ces éléments, une charte de veille personnalisée est établie, afin d’assurer la collecte la plus pertinente des données pour répondre à vos priorités : concurrents à surveiller, couverture géographique de la veille, précision et volume de l’interrogation, qualification de la base de données, fréquence du reporting, etc.

Mise en place de la surveillance :

Une fois la stratégie de surveillance établie, la collecte des données peut s’opérer. Les éléments recueillis sont traités afin de renseigner la base de données de la façon la plus opérationnelle possible. Chaque nouveauté est analysée afin de déterminer les différents paramètres du mix d’un produit ou d’un service : la cible visée, la (les) tendance(s) abordée(s), politique commerciale et/ou promotionnelle, la stratégie (opération de blocage sur le territoire d’un concurrent ou réelle avancée concurrentielle ?) etc.

Des carnets de tendances réguliers sont établis à partir des données collectées afin de vérifier les évolutions opérées sur un panorama précis : niche de produit, segment de marché, secteur d’activité global, etc.
Les reportings vous sont remis sous forme de base de donnée. Vous avez la possibilité d’effectuer des recherches sur les critères pertinents validés dans la charte de veille : date, cible, matière, tendances, pays, nom de marque, déposant, etc.

Et pour finir, combien ça coûte ?

Chaque surveillance est spécifiquement adaptée à une problématique précise. Les recherches peuvent être ponctuelles, mensuelles, trimestrielles ou annuelles. Leur coût varie en fonction de critères tels que la complexité de la surveillance, la couverture géographique, la durée de l’abonnement et le volume de l’information à traiter.